Les trajets quotidiens du narrateur sur le boulevard périphérique lui permettent de se plonger dans ses pensées. S'y mêlent ainsi le présent -sa belle-fille se mourant d'un cancer à l'hôpital, d'où les trajets quotidiens- et le passé -la mort de son ami Stéphane, résistant, pendant la seconde guerre mondiale.
Les deux vies sont racontées en parallèle et se mélangent intrinséquement pour donner naissance à une réflexion, sur la mort et sur l'amour.
C'est bien écrit, c'est intéressant, c'est sentimental. Et pourtant... Le lecteur reste tenu à distance. On n'en ai pas moins fort triste pour le narrateur, mais on n'a aussi qu'une envie, c'est de revenir à ses propres réflexions et de savourer sa propre vie. Finalement cela rejoint le ppos du livre: la vie est si ténue qu'il faut savoir en profiter.
Les deux vies sont racontées en parallèle et se mélangent intrinséquement pour donner naissance à une réflexion, sur la mort et sur l'amour.
C'est bien écrit, c'est intéressant, c'est sentimental. Et pourtant... Le lecteur reste tenu à distance. On n'en ai pas moins fort triste pour le narrateur, mais on n'a aussi qu'une envie, c'est de revenir à ses propres réflexions et de savourer sa propre vie. Finalement cela rejoint le ppos du livre: la vie est si ténue qu'il faut savoir en profiter.
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