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samedi 2 octobre 2010

indochine


Deux ans que je cherchais desesperement quelqu'un pour m'accompagner au concert d'Indochine a Paris. Le stade de France de m'enthousiasmait pas plus que ca, mais c'est Indochine quand meme. Autant vous dire que j'ai eu beau cherche, supplie, ratisse large, personne ne voulait m'accompagner (et manifestement personne sauf moi ne planifie sa vie deux ans a l'avance). J'ai beau etre solitaire, aller a un concert toute seule, c'est quand meme la lose, donc j'avais (presque) renonce, d'autant plus que je pense que le concert etait complet.

Coup de chance, Indochine annonce une derniere date le 15 septembre a Bercy. C'est pratique cote metro, la salle est d'une taille raisonnable, et profitant sans aucune honte d'un probable moment de faiblesse de J. (qui accepte de reserver sa soiree 6 mois a l'avance), je fais partie de ces fans qui a l'heure H annoncee se connecte sur Internet pour prendre les places (j'ai quelque peu du ruser au boulot, mais que voulez-vous, quand j'ai decide quelque chose....).

Leur concert a Bercy lors de leur derniere tournee etait genial (j'avais aussi traine un ami qui croyez moi n'etait pas particuliement conquis a la cause, il a achete le cd suite au concert, si ce n'est pas une preuve...), celui-ci etait geniallissime. Dernier concert de la tournee, le groupe s'est donne a fond, c'est-a-dire 2h45 de concert (pour le meme prix, j'ai vu des artistes qui daignaient honorer leur contrat pendant une heure, et encore c'etait avec un ennui assez peu dissimule)!!! Mise en scene incroyable, et surtout energie du groupe exceptionnelle. Pour une fois qu'un groupe a l'air de s'eclater sur scene; cela change de ceux qui font ca parce que desormais seule la scene leur permet de bouffer...

Nicola Sirkis a indeniablement du charisme, et (de loin au moins) n'est pas denue de sex-appeal (et oui, mon pere a tres peur de ce que je vais lui ramener comme gendre). Et je ne pense pas qu'il soit en effet reconnu comme chantant "super" bien comme l'a signale C. Mais je pense surtout qu'il s'en fout, et que la reputation d'Indochine n'est pas due a la voix de son chanteur mais a la loyaute du groupe envers ses fans. C'est incroyable et fascinant de voir la salle de Bercy chanter sans hesitation a la place de Nicola qui semble lui-meme submerge d'emotion face a ca. Quand on pense combien il est difficile de chauffer une salle, la prouesse est remarquable. Etre rock-star dans ces moments doit etre assez exceptionnel, et je dois dire assez boostant pour son estime.

Je ne serai jamais une rock-star, ne sortirait jamais avec une rock-star (mais je vise toujours le musicien amateur), mais en revanche irai toujours au concert d'Indochine. Avec un peu d'espoir, encore avec J.

Pour une idee de l'ambiance, et du public chantant seul:


mercredi 12 mai 2010

Antony and the Johnsons


D'une part parce que j'ai récemment été ravie de découvrir un nouveau groupe par le blog de P. et que donc je serais ravie de rendre la pareille, et d'autre part parce que j'ai envie de montrer que j'ai raison quand je dis que mes lectures futiles de Vogue m'apportent beaucoup, je ne résiste donc pas l'envie de présenter Antony and the Johnsons (que tout le monde connaît déjà probalement, inculture quand tu nous tiens...).

J'avais déjà lu (et oui, probablement dans Vogue) à propos de ce groupe il y a quelques années lors de la sortie d'un de leurs albums, et m'étais dit que je devrais me pencher sur la question. Comme c'était avant mon utilisation abusive de Youtube, je n'en avais jamais eu l'occasion.

Un article (toujours dans le même magazine, je suis quelque peu obsessionnelle) sur Candy Darling (un(e) des premier(e)s drag-queens) m'a remis dans le droit chemin. Elle/il fut dans l'entourage de Warhol et inspira notamment Lou Reed pour Walk on the Wild Side, et Les Rolling Stones pour Citadel. Antony and the Johnsons ont choisi une de ses photos (sur son lit de mort) pour la couverture de leur album I Am a Bird Now. Apparemment Antony est une figure important dans le monde des drag-queens, mais je dois dire que la sexualité des gens (célèbres ou pas) m'intéressant assez peu, je ne me suis pas penchée sur la question. Cependant les paroles des chansons le laissent en effet penser.

A choisir entre les hurlements d'un bébé, ou de la musique, j'ai donc choisi l'option Youtube, et je remercie le braillard sans lequel je n'aurais pas découvert cette superbe musique. Les goûts et les couleurs étant diverses (et étant nulle dans le domaine musical), je n'analyserai pas les raisons pour lesquelles je trouve ce cd exceptionnel, je me contenterai juste de donner une opportunité à ceux qui veulent le découvrir de le faire .




jeudi 25 mars 2010

Retour vers le passé


Besoin d'argent, en manque de notoriété, véritable manque artistique, quelle que soit la raison, les Cranberries se sont réunis pour quelques dates de concert sans même avoir de nouvel album à promouvoir.

Le groupe, qui se fait assez rare sur scène, n'a rien perdu de sa superbe. Avec un look et une énergie à la Cindy Lauper, Dolores O'Riordan mène le concert avec beaucoup de charisme. Evidemment comme leur album phare, No Need to Argue, date de 1994, et qu'il n'y a pas eu de nouvel album depuis quelques temps pour rajeunir leur fan club, le public est en majorité trentenaire mais totalement dévoué à la cause. Ce qui veut dire qu'on se prend certes une grosse claque en réalisant le temps qui est passé, mais que cela fait du bien, et qu'en plus l'ambiance est excellente. Tous les classiques sont repris avec entrain pour finir sur un Zombie incontournable...

Un nouvel album serait prévu l'année prochaine, ce qui veut dire on l'espère une nouvelle tournée!

samedi 31 octobre 2009

Placebo, baisse de régime?


Les vacances sont déjà loin, mais je commence à peine à me remettre de la déprime post-vacances.

Placebo a sorti son nouvel album il y a quelques mois, et cela fait donc quelques mois que j'étais en quête 1) d'une date de concert et 2) de gens qui veulent m'accompagner (je suis asociale, mais les concerts seule, je n'ai pas encore fait....).

Le groupe semblant au départ ne jouer que dans des festivals, j'avais abandonner l'idée de les voir. Les festivals sont une bonne idée, sauf quand vous prenez vos billets (chers) pour voir un groupe en particulier et que celui-ci vous plante (Hello Oasis at Rock en Seine!). Imaginez ma joie quand j'ai vu qu'ils joueraient à Paris, et en plus au Zénith.

Fausse joie quand j'ai vu que mes goûts musicaux n'était apparemment pas partagés. Entre les "c'est du rock pour midinette de 15 ans, j'aurais honte que mon mec y aille" (spéciale dédicace pour V.), le presque "c'est ça, on se rappelle, on se fait une bouffe " (ce qui veut dire diplomatiquement "oublie moi"), le "j'arrive, avec mon mec!" (là c'est moi qui coince...), et le classique "euh non merci", j'avais abandonné tout espoir. J'en étais arrivée au cynisme de proposer ça à un déjeuner au boulot (c'est pour dire quand la seule chose que je consens à dire sur ma vie privée au boulot est que j'ai passé un bon we), lorsque surprise, quelqu'un était intéressé (et non, ce n'était pas le boulet de service qui me draguait).

Coup de chance, une date avait été ajoutée, il restait des places, et deux personnes se sont rajoutées. En première partie, le groupe Expatriate, rien à dire dans un sens comme dans l'autre, mais comme ils sont australiens, ma subjectivité me fait dire qu'ils étaient bien.

Donc premier rayon de soleil depuis la rentrée!

Brian Molko est extraordinaire sur scène (on oubliera sa coupe de cheveux, qui me fait penser à beaucoup de mes propres expérience ratées), il tient le groupe sur ses épaules en terme de charisme (quoique le batteur est excellent comme musicien). Le troisième acolyte est sûrement un très bon élément mais je suis probablement plus charismatique que lui, c'est pour dire. En rock star wannabe, il est parfait.

En commençant par trois ou quatre chansons de leur nouvel album Battle for the Sun ( ce qui est légitime et commercial), Placebo n'incitait malheureusement pas le public à se mettre dans l'ambiance et à se déchaîner. Les gens viennent majoritairement voir Placebo en concert, et donc leurs "vieux" tubes, et non pas écouter leur nouvel album (étude statistique faite sur quatre personnes, dont moi, donc hautement fiable). L'ambiance a donc eu en conséquence beaucoup de mal à se réchauffer, malgré les nombreux tubes enchaînés. Musique dont je ne me lasse pas, chanteur définitivement talentueux, c'est dommage que le concert n'est pas mieux reflété ça.

Pour ceux qui ne connaissent pas (bizarre mon père -pourtant plutôt Nostalgie que Oui FM- les connaît, alors qu'au Canada, ils ne semblent pas être connus), voilà un de leurs grands succès (et oui les clips, comme pour Indochine, sont toujours extrêments bizarres, mais toujours fascinants).




Et ce qui est formidable et que le monde étant en circuit fermé permanent, on découvre grâce aux jeunes générations d'artistes les anciennes. De même que j'avais découvert la chanson The Man who sold the Word de Bowie grâce à Nirvana, Brian Molko m'a ouvert les yeux (oreilles?) sur Five years, toujours de Bowie. Ai-je le droit de dire que je préfère les reprises des jeunes générations?

A passer en boucle...

dimanche 17 mai 2009

Placebo

Pour les djeuns de ma génération, Sexe Intentions a marqué les esprits. C'était probablement pour beaucoup la première introduction au roman de Laclos ou à ses nombreuses adaptations. Outre le casting séduisant qu'était Ryan Philipps, Sarah Michelle Gellar et Reese Witherspoon, la bande annonce était excellente.

Si ce n'était probablement pas la première que j'entendais Placebo, c'est la première fois que je l'écoutais vraiment. Jusqu'à présent, le groupe londonien faisait partie de cette nébuleuse musicale, dont je connais les chansons mais ne sais pas qui en est le responsable. Every me, every you fut donc le catalyseur (comme quoi, cela confirme ma théorie que tout est bon à voir; même un film pour ados a un intérêt).

Comme tout mûrit chez moi très lentement, il m'a fallu quelques années pour me pencher sur la question, et comme je ne connais pas la modération, j'ai acheté trois albums pour découvrir le groupe.

Emmené par Brian Molko (avec qui je fais enfin le lien!), Placebo joue beaucoup sur son image bordeline. Paroles subversives, provocantes, androgynie et maquillage du chanteur, on est en plein rock and roll, côté plus sex and drugs qu'autre chose.

Si le premier album, nommé avec sobriété Placebo, fut un succès (première partie de la tournée de David Bowie quand même!),




le groupe connaît des hauts et des bas, et l'album Meds est le dernier vant la reformation du groupe dû à des divergences artistiques.


Pour ceux qui veulent découvrir le groupe, Once more with feelings reprend leurs singles lesplus célèbres, que vous connaitrez forcément en partie. Evidemment les Best Of perdent en charme par rapport aux albums en ne restituant pas intégralement le fil directeur mais permettent de condenser les succès du groupe.



Et pour le mot de la fin, Brian Molko a travaillé avec Indochine sur Pink Water 3, morceau sublime. Comme quoi tout est lié, et il suffit de laisser au temps l'opportunité de dérouler les fils de la pelote.



mardi 10 mars 2009

John Legend


En cherchant un concert pour une date précise (je fonctionne à l'inverse des gens), John Legend était disponible (enfin façon de parler). On m'a dit qu'il était talentueux. Alors n'écoutant que ma curiosité naturelle, je suis allée le voir au Zénith. Manifestement je ne dois pas correspondre à son public habituel, car on s'est foutu de moi quand j'ai dit que j'aller le voir (mais comme on me prend aussi pour une provinciale fumeuse et accro à la caféine, je me dis que l'image que je projette n'est pas vraiment celle qui me correspond).

J'ai écouté un album qu'on m'avait prêté, mais je me suis aperçue après coup, que ce n'était pas l'album pour lequel il faisait une tournée. Bref, je dois avouer que je suis arrivée en touriste à son concert.

Première surprise : le Zénith n'est pas au bout du monde (je m'arrête à Bastille, voire Nation dans mes jours de générosité), et est une salle passablement intimiste (manifestement des rideaux réduisaient la salle en deux, à vérifier donc), avec un public extrêmement sage et bon enfant. On n'attend pas, et on est bien installé, et pour une déjà-vieille-dans-la-tête, psycho-rigide come moi, cela compte.

La première partie était assurée par Laura Izibor, la vingtaine, un charisme de folie, un talent époustouflant, une énergie communicante, un mélange de Lauren Hill et Alicia Keys. Pas un mot dans la salle, chacun retenait son souffle. Manifestement seules R. et moi ne savions pas qui c'était, elle doit donc être connue dans le circuit. Définitivement une artiste à voir en concert, et en attendant je me contenterai de son premier album qui sortira le 18 mai prochain.

Arrive John Legend himself. Son statut de sex-symbol est apparemment réputé (j'ai définitivement un blocage sur les yeux clairs), mais non, il n'y avait pas que des adolescentes prépubères dans la salle. Un écran blanc derrière lui diffusait des images, dont la première série le mettait en scène en boxeur gagnant sur le ring. Avec mon mauvais esprit habituel, je l'ai trouvé bien prétentieux, mais j'ai vite changé d'avis.

Durant une heure et demie, il a enchaîné avec une énergie, une bonne humeur, et une présence incroyable. Il donnait l'impression de faire ça pour le plaisir, ce qui n'est pas toujours le cas (Raphaël si tu m'entends...). Etant véritablement inculte en musique, je ne caractériserai pas ses chansons, mais il passe des "slows" à des beats beaucoup plus soutenus avec une facilité déconcertante, et le rythme n'est pourtant rompu à aucun moment. Chapeau l'artiste.

Le clou fut son duo avec Kanye West, que personne n'attendait (on n'a pas osé se faire ENCORE confirmé l'artiste par nos voisines, heureusement il est fort bien élevé, et s'est présenté de lui-même à la fin du morceau). Dois-je dire que je ne suis pas une grande adepte de rapt, mais que j'étais la première à hurler et danser comme une folle (et non, sans ectasy!) lors de la chanson?

Obama success oblige, on a eu le droit à un petit montage vidéo des plus grands leaders noirs de notre siècle (Luther King, Mandela, Gandhi...) sur une chanson que John Legend a manifestement composé pour une association humanitaire. Opération marketing ou réelle initiative humanitaire, je ne sais pas, mais après un tel concert, le public était conquis (surtout que John Legend a fini en marcel et jean, ce qui a promis fait sauter quelques barrières chez certaines spectatrices).

Un artiste à voir définitivement en concert!

samedi 20 décembre 2008

Tracy, come back!


Okay, là comme ça, cela ne vous dit rien. Mais avec beaucoup d'imagination, vous devinez Tracy Chapman. Elle était à Paris dans le cadre de sa tournée pour la promotion de son nouvel album, dont la sortie fut assez discrète à son image. L'artiste n'avait pas effectué de tournée solo depuis dix ans, ses fans l'attendaient donc de pied ferme.

Paraissant 30 ans (soit, je suis myope mais quand même), mais née en 64 tout de même, l'artiste a donné une prestation tout en émotion. Au contraire d'une Madonna qui mise tout sur les effets spéciaux, et ses tenues (et oui j'aime bien Madonna), Tracy Chapman a tenu une foule en délire avec une voix exceptionnelle et ses guitares. Deux heures de pur bonheur pour une salle comble.

Le programme musical était particulièrement cohérent, et a pemis de donner un éclairage différent à ses chansons, dont l'artiste a expliqué la genèse de certaines. Assez peu démonstrative, et toute en simplicité, Tracy Chapman n'en est pas moins très charismatique.

Promise, Tracy, we'll be there next time you come!

jeudi 4 décembre 2008

De la musique dans les films


Christophe pour moi, ce fut longtemps synonyme d"Aline". Sympa à chanter au coin du feu dans un camp scout, mais pas vraiment une référence musicale en soi.

En 2006, lors en voyant la bande annonce de "Quand j'étais chanteur" (film très touchant d'ailleurs), je reconnais une chanson qui me touche et me poursuit bien après le film (et non ce n'était pas "Quand j'étais chanteur" de Michel Delpech). Il s'agit des "Paradis Perdus" de Christophe.



Par le biais d'articles sur la musique (ok, une nterview de Raphaël, mais ça tape plus de dire que je lis des articles sur la musique), je m'aperçois que Christophe est manifestement un artiste phare de la culture musicale française qui a influencé les générations postérieures.

S'ensuit alors une quête effrénée pour trouver un best of de Christophe (à un prix raisonnable!) dont je réalise alors aussi qu'il est l'auteur des "Mots Bleus".
Deux and après, Alapage m'offre l'occasion de me l'offrir (merci leurs promotions pour relancer l'économie en crise!). Outre ses classiques cités ci-dessus, j'en ai découvert quelques autres comme la Dolce Vita et Ne raccroche pas.

Certains diront que Christophe est ringard et kitsch. Ils n'auront probablement pas tort mais je pense que fondalement la façon dont la musique touche un individu est inexplicable. Certes il y a des critères qui font que certains artistes et certains morceaux sont incontournables, mais comment cela se fait-il que je sois autant touchée par Christophe que par AFI (hard-rock)? Ou que Gainsbourg qui est cultissime m'ennuie profondèment? Aucune réponse à apporter, mais j'assume totalement mes goûts musicaux désormais, tout aussi éclectiques (voire guimauve) qu'ils soient.


dimanche 23 novembre 2008

a little bit of couuuuuuuuuuuuuuntry


L'un des plus belles choses de l'amitié, c'est le partage et la découverte: temps, activité, goût. Ma culture étant passablement inexistante, je suis toujours avide d'apprendre. Alors quand Y. m'a fait écouter Dolly Parton, j'étais intéressée, puisque je n'avais jamais entendu parler d'elle (est-elle d'ailleurs connu en France?). Les chansons que j'ai entendu ne l'a classifiaient pas pour moi comme chanteuse de country (dont pour moi l'unique référence existante était les Dixie Chicks; mais pour une fois mon inculture a une excuse: sérieusement qui écoute de la country en France?), mais une interview de Jessica Simpton dans le Vogue (américain, qui en France s'intéresse à Jessica Simpson faisant la promotion de son album country?) m'a fait comprendre que Dolly Parton était manifestement un monument culturel dans le domaine du country.

Alapage faisant le reste en proposant des promotions sur ses albums, le pigeon marketing que je suis n'a pas résisté, pour mon plus grand bonheur. Evidemment l'album, et les vidéos vues sur Youtube renforcent l'image des américaines du Sud: de vieilles peaux voulant faire jeunes, avec le stetson et les santiags.

Alors pour ça, et pour les chansons dont certaines valent vraiment le coup, Dolly Parton vaut qu'on l'écoute. Voici une vidéo qui vaut le détour pour la tenue de Dolly et pour sa chanson (sans ironie aucune!).

dimanche 26 octobre 2008

A trio to listen to

Our cultural weekend theme continued today with a visit to the Cité de la Musique near the Parc de la Villette. We were invited to watch the Jobic Le Masson trio in concert as part of the ongoing tribute to Serge Gainsbourg (more about the exhibition later on) at the Cité. I’d first heard the jazz trio play at Sunside at the launch of Hill, their first CD and was very impressed with their music. All but one of the songs in Hill are original compositions of Jobic Le Masson and I’m proud to say that he is as talented as the reviews say. And the cd as good as the reviews. Since the first concert, I’ve tried to watch their concerts as often as I could. Today was another good occasion to listen to them play and once again they didn’t disappoint. Playing in three sets of half an hour each, the trio played a selection of Gainsbourg tunes adapted in their inimitable jazz style. And while I confess to have a preference for the piano, Peter Giron on bass and John Betsch on drums are by no means laggards in musical talent. What is really cool about their group is the obvious ease (even affection) they have with each other which translates into a melodious collaborative effort among the three. And for the audience it is a real pleasure to listen to their seamless and always innovative way of playing. Today this ease was once more on display at the concert and if a number of their audience were below the majority age, all the better for them to discover early on what great jazz should sound like.

Here's John on drums..

Lest you remain unconvinced, I invite you to listen to the trio play and discover for yourself the music of the Le Masson trio. Here is the website where you can check for their concert schedules and listen to extracts of their music. http://jobic.lemasson.free.fr/
Here is their CD ...