Vous connaissez Les Pintades à NYC, livre écrit par deux journalistes françaises expatriées à NYC, et décrivant les us et coutumes de nos analogues New-Yorkaises (sinon c'est que vous n'êtes pas une femme hip -et non hype- comme j'ai appris). C'était assez drôle et assez novateur (j'ai dit "assez").
La poule aux oeufs d'or ayant été trouvée, la série s'était égarée avec Les Pintades à Londres, et les Pintades à Téhéran entre autres.
De retour à Paris, les deux journalistes ne pouvaient pas passer à côté de l'occasion. Une vie de pintade à Paris tente donc de cerner comment vit une parisienne d'aujourd'hui. Pour information, une pintade n'est pas un terme péjoratif: c'est censé refléter la femme qui peut sembler superficielle (aimant la mode...), mais qui ne l'est pas (vie active, culturelle, intellectuelle).
Malheureusement, j'ai grandi (corrigeons : "vieilli") et soit le concept a déjà été vu et revu, soit mon adversion pour les parisiennes est à la limite du tolérable. Une vie de pintade à Paris n'est pas dénuée d'humour, mais d'abord c'est assez mal écrit (on n'est pas dans le grand journalisme), et mon snobisme le supporte mal, et d'autre part l'image de la parisienne (ou des parisiennes, puisque plusieurs portraits sont dressés) est beaucoup trop concensuel à mon goût. J'ai souvent eu l'impression de lire Madame Figaro (et sérieusement quel est le pourcentage des parisiennes qui sont en mesure de vivre selon le style de vie de ce magazine?).
Il est évident que chacun (chacune) de nous peut se retrouver dans la description faite (oui, je traverse en dehors des clous et me fous royalement que j'ai priorité ou non). Mais il est aussi évident que le parisiannisme n'est pas forcément fait pour moi, à moins que cela ne soit du snobisme.... En revanche, il est toujours recommandé de connaitre son ennemi, alors merci V. pour le prêt!
Malheureusement, j'ai grandi (corrigeons : "vieilli") et soit le concept a déjà été vu et revu, soit mon adversion pour les parisiennes est à la limite du tolérable. Une vie de pintade à Paris n'est pas dénuée d'humour, mais d'abord c'est assez mal écrit (on n'est pas dans le grand journalisme), et mon snobisme le supporte mal, et d'autre part l'image de la parisienne (ou des parisiennes, puisque plusieurs portraits sont dressés) est beaucoup trop concensuel à mon goût. J'ai souvent eu l'impression de lire Madame Figaro (et sérieusement quel est le pourcentage des parisiennes qui sont en mesure de vivre selon le style de vie de ce magazine?).
Il est évident que chacun (chacune) de nous peut se retrouver dans la description faite (oui, je traverse en dehors des clous et me fous royalement que j'ai priorité ou non). Mais il est aussi évident que le parisiannisme n'est pas forcément fait pour moi, à moins que cela ne soit du snobisme.... En revanche, il est toujours recommandé de connaitre son ennemi, alors merci V. pour le prêt!
2 commentaires:
Je te trouve bien dur!! Tu n'es pas parisienne pour rien toi!
je t'accorde que mon snobisme est tout à fait parisien!
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