mercredi 30 décembre 2009

Lecture légère

Il me restait le choix entre Dickens et Heureux parmi les morts dans ma pile de livres à lire, et je dois avouer que je n'avais pas le coeur de m'attaquer à 500 pages de misère sociale en ces temps de fêtes. Donc par élimination, il me restait Elisabeth Barillé.

Jamais entendu parlé d'elle, le quatrième de couverture n'était pas particulièrement inspirant, mais c'était un cadeau choisi spécifiquement parce que cela se passait dans le milieu de la mode. Les cadeaux sont sacrés, et la mode c'est légèr et fascinant, donc parfat pour Noël.

L'écriture m'a un peu rebuté. Ce n'est pas le niveau de Marc Lévy ou Guillaume What'sHisFace, mais on s'en rapproche. Plusieurs personnages se recoupent dans le roman, et les clichés n'en sont pas absents. L'ado en mal de vivre, l'artiste narcissique, le vieux qui se sent seul... Au fil des pages, l'histoire et les personnages prennent (un peu d'épaisseur).

Un livre parfait pour les vacances. Facile à lire entre deux digestions difficiles, et partiellement oublié dès la dernière page tournée.

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