Décembre arrive, et apporte une série de petits plaisirs avec dans le désordre: les spécialités de Noël de Starbucks, les lumières et décorations de Noël, le froid qui avec un peu d'imagination et d'accessoires (gants et bonnet) permet de s'imaginer en Ally McBeal, et surtout l'excellente programmation cinématographique. Cette semaine, pour ma séance hebdomadaire, j'ai hésité entre plusieurs films (un plaisir et une souffrance!), et a opté pour Across the Universe.
Distribué dans neuf salles à Paris lors de sa première semaine, je continue dans ma lancée "films pour initiés".
A travers quelques personnages clés, on navigue à travers l'Amérique des années 60 de Princeton aux manifestations contre la guerre du Vietnam, en passant par les problèmes de racisme et d'immigration, et quelques délires psychédéliques. Ni comédie musicale (malgré une excellente bande-son constituée uniquement de chansons des Beatles), ni love story, ni film politique (malgré une position politique explicite), le film est inclassable.
La réalisatrice a probablement fumé quelques joints avant afin de se mettre dans l'ambiance, mais si la marijuana (j'élimine la cocaïne qui n'a pas le même effet, l'héroïne qui fait beaucoup trop plané pour travailler, et le LSD beaucoup plus dur à trouver de nos jours) donne cet effet là, je veux essayer! Soit la réalisatrice était en effet complétement défoncée, soit elle est très réaliste, mais sa vision sur la vie est crue car dure, mais belle car optimiste.
Et même si le film était raté, il ne pourrait jamais être foncièrement mauvais avec une bande-son constituée de reprises (Jim Sturgess n'a ni les yeux bleux, ni de guitare, mais la beauté de son chant me pousse à élargir mes horizons. Jim si tu m'entends...) des Beatles.
Distribué dans neuf salles à Paris lors de sa première semaine, je continue dans ma lancée "films pour initiés".
A travers quelques personnages clés, on navigue à travers l'Amérique des années 60 de Princeton aux manifestations contre la guerre du Vietnam, en passant par les problèmes de racisme et d'immigration, et quelques délires psychédéliques. Ni comédie musicale (malgré une excellente bande-son constituée uniquement de chansons des Beatles), ni love story, ni film politique (malgré une position politique explicite), le film est inclassable.
La réalisatrice a probablement fumé quelques joints avant afin de se mettre dans l'ambiance, mais si la marijuana (j'élimine la cocaïne qui n'a pas le même effet, l'héroïne qui fait beaucoup trop plané pour travailler, et le LSD beaucoup plus dur à trouver de nos jours) donne cet effet là, je veux essayer! Soit la réalisatrice était en effet complétement défoncée, soit elle est très réaliste, mais sa vision sur la vie est crue car dure, mais belle car optimiste.
Et même si le film était raté, il ne pourrait jamais être foncièrement mauvais avec une bande-son constituée de reprises (Jim Sturgess n'a ni les yeux bleux, ni de guitare, mais la beauté de son chant me pousse à élargir mes horizons. Jim si tu m'entends...) des Beatles.
On y retrouve aussi l'excellente Evan Rachel Wood reperée il y a quelques années dans l'inoubliable film Thirteen.
J'ai donc l'option pour prolonger l'effet relaxant/euphorisant de ce film de me mettre à la marijuana ou de m'acheter les cds des Beatles. Moi qui me cherchais une excuse pour m'offrir les deux collectors des Beatles sortis dernièrement à la Fnac, je vais choisir la deuxième option (trop compliqué de chercher un dealer) et courir à la Fnac demain (jour de paie en plus. Que demande le peuple?)!
Red addict
J'ai donc l'option pour prolonger l'effet relaxant/euphorisant de ce film de me mettre à la marijuana ou de m'acheter les cds des Beatles. Moi qui me cherchais une excuse pour m'offrir les deux collectors des Beatles sortis dernièrement à la Fnac, je vais choisir la deuxième option (trop compliqué de chercher un dealer) et courir à la Fnac demain (jour de paie en plus. Que demande le peuple?)!
Red addict
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