Entre Al Pacino et Colin Farrell, mon coeur balançait. Al Pacino est certes un excellent acteur, mais mon scepticisme envers le talent de Colin Farrell réduisat quelque peu mon enthousiasme à voir La Recrue. Scepticisme complétement infondé, je l'admets, n'ayant jamais rien vu de lui, mais après tout on est snob ou on ne l'est pas.
J'ai beau en arriver toujours à la même conclusion -mes jugements sont complètement erronés- je continue d'avoir des préjugés. Chassez le naturel, il revient au galop.
Donc, oui Colin Farrell est bon dans son rôle (et je comprends désormais mieux l'engouement qu'il provoque auprès de la gente féminine, comme diraient certaines de mes connaissances "il n'y a rien à jeter"), et Al Pacino est toujours aussi bon (même si pour lui, il est plutôt passé de l'autre côté de la barrière question physique, mais là n'est bien évidemment pas la question).
Je pensais m'endormir devant un mauvais polar, je suis restée en haleine devant un excellent polar américain (on savait que les Américains avaient quand même quelques qualités...). Et qu'y a-t-il de mieux que de dévouvrir un bon film quand on s'attendait à un navet.
Et promis j'ajoute dans ma liste de résolutions (qui ne fait que s'allonger): arrêter d'avoir des préjugés.
Et promis j'ajoute dans ma liste de résolutions (qui ne fait que s'allonger): arrêter d'avoir des préjugés.
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